Passé l'armistice de 1918, chaque ville et village de France rivalisait d'efforts pour rendre hommage à ses enfants morts pour la patrie. Certaines rivalités locales amenaient même des communes à la surenchère ; à Nîmes, une note du Préfet en date du 18 juillet 1920 invita les communes du Gard à souscrire pour l'érection d'un monument aux morts du département. Ce qui explique qu'Aimé TREYSSEDE figure à la fois sur le monument aux morts de La Calmette, son village natal, et sur celui de Nîmes.
La première pierre en fut posée le 29 avril 1923 au centre du square appelé alors Charles Mourier, après le retrait de cet emplacement d'un monument commémoratif à Paul Soleillet.Il fut achevé et inauguré en 1924.
En ce jour de commémoration du 90ème anniversaire de l'armistice de 1918, nous vous invitons à en savoir plus sur cet édifice en parcourant notre page "repères" qui lui est consacrée (en cliquant ici).